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Comment l'industrie du luxe a su s'adapter au E-Commerce ?

From www.ecommerce-nation.fr

Le e-commerce existe maintenant depuis plus de 20 ans. De nos jours, acheter sur internet est devenu une réelle habitude pour les consommateurs.
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Luxe : Le E-Commerce En Hausse 

From www.forbes.fr

De nouvelles cibles et de nouveaux comportements de consommation : le digital amène à repenser l’offre du luxe. La France était longtemps à la traîne.
Karim Bouhajeb's curator insight, December 10, 2017 6:35 PM

En 2014, l’e-commerce a bondi de 55% sur un an, pesant au niveau mondial 14 milliards d’euros (6% de parts de marché). D’après une étude de McKinsey, pour la première fois depuis la jeune histoire digitale, les e-shops officiels de marque ont dominé le marché (28% des parts). L’e-commerce s’annonce fondamental pour le futur économique du secteur, puisqu’il représentera 70 milliards d’euros en 2025, pour atteindre 18% du total des ventes. Soit le triple en dix ans. Un phénomène inexorable où la France, pourtant icône du luxe, a longtemps été à la traîne, accusant du retard comparé à l’Italie, les Etats-Unis ou l’Angleterre qui réalise 11% de ses ventes de luxe sur la toile. Deux poids lourds de l’Hexagone se sont d’ailleurs lancés tardivement dans la vente en ligne : Chanel avec ses créations en 2016, et LVMH avec 24sevres.com en juin dernier – alors que son concurrent Kering enregistre une progression de 12% par an (avec un record pour sa griffe italienne Gucci dont les ventes ont bondi de 86% début 2016). Difficile en effet de contourner un canal de vente qui s’impose. Selon une récente étude du Boston Consulting Group (BCG), un Français sur deux achète une fois par an un article de luxe via le web et un quart d’entre eux dépenserait 1 000 euros. Avec le constat que plus le prix est élevé, moins on achète en ligne : seulement 4% des produits très haut-de-gamme (Cartier, Dior ou Chanel) sont vendus sur le net. Longchamps, aux prix plus abordables, réalise 9% de ses ventes. Comme Burberry, un des précurseurs en e-commerce.