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Charlotte Piret (ESJ Lille 2008, 82e promo) est gardoise, spécialiste du terrorisme, et a couvert pour France Inter le précédent procès des attentats parisiens de Charlie Hebdo. Elle s'apprête à couvrir pour la station nationale le procès des attentats de novembre 2015. Entretien. Voir aussi
Le 7 janvier, cela fera cinq ans qu'un attentat a eu lieu dans la rédaction de Charlie Hebdo faisant douze morts. Dans son numéro spécial, le journal satirique s'attaque aux nouveaux censeurs et donne la parole aux proches de victimes. voir aussi
Trois ans après l’attentat contre Charlie Hebdo par les frères Kouachi, qui ont tué douze personnes dans les locaux de l’hebdomadaire, plusieurs collaborateurs du titre, notamment Philippe Lançon et Fabrice Nicolino, prennent la parole pour expliquer à quoi ressemblent leurs vies depuis le 7 janvier 2015. Le dessinateur et caricaturiste Riss, directeur de la rédaction, déplore notamment le coût très lourd de la protection des locaux — «entre 1 et 1,5 million d’euros par an, entièrement à la charge du journal». Voir aussi "Trois ans après la tuerie, «Charlie Hebdo» sort un numéro anniversaire", ainsi que "Comment les attentats ont bouleversé nos échanges sur les réseaux sociaux- Joël Gombin." (INA Global)
L’UNESCO a publié un manuel à l’usage des journalistes afin de les aider à poursuivre leur mission d’informer tout en évitant de servir de caisse de résonance aux terroristes dont l’objectif est de diviser les sociétés et de monter les populations les unes contre les autres. La publication vise à attirer l’attention des journalistes sur la nécessité de faire preuve de vigilance concernant les personnes qu’ils citent, les messages qu’ils véhiculent et la manière dont ils replacent l’information dans son contexte malgré la compétition exacerbée entre les différents médias pour gagner des lecteurs, des visiteurs ou des auditeurs. Voir aussi "«Les médias face au terrorisme, manuel pour les journalistes» (Note de lecture, ODI)
On ne connaît pas leurs visages, mais on a tous vu leurs images. Ils sont les reporters des institutions de l'Etat et ont été les premiers, et parfois les seuls, à tourner les scènes des attentats diffusées par les chaînes de télé. Enquête sur les méthodes et l'éthique de ces équipes méconnues. Lire aussi "Attentats: les médias allemands, loin du buzz et du culte de l'instantanéité"
A lire dans Society #37 du 5 août 2016. Les chaînes d’info les adorent, les journalistes spécialisés et les chercheurs beaucoup moins. De plateaux télé en studios radio, ils commentent et analysent l’actualité la plus anxiogène. Qui sont ces anciens “espions” ou militaires à la retraite devenus experts pour plateaux télé?
Initialement donné comme victime de l'attentat, le nom de Timothé Fournier ne fait plus partie de la liste des morts de Nice. A la source de l'information, l'AFP pense avoir été victime d'un 'fake'.
Ce matin, La Provence accorde six pages à l'hommage aux victimes de l'attentat de Nice, aux nouvelles révélations sur l'enquête et aux déclarations de François Molins (avec un seul l). Et le quotidien a choisi un seul mot: "Debouts", écrit en blanc sur fond noir. Problème, "Debout" est un adverbe et donc invariable, et non un adjectif qualificatif. Une faute qui n'est pas passée inaperçue et qui a été pointée du doigt sur les réseaux sociaux (de même que l'absence de s à "ils étaient" dans le sous-titre).
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Mercredi 4 novembre, France 3 diffusera un documentaire de 45 minutes de Mustapha Kessous qui revient sur l’attentat du Bataclan, cinq ans après les faits. Il est centré sur l’histoire de Daniel Psenny, le journaliste du Monde qui a filmé le drame depuis sa fenêtre et a été blessé au bras. Interview à deux voix. voir aussi
Récemment, les faits commis devant la mosquée de Bayonne n’ont pas été retranscrits de la même manière par tous les journalistes. «Attaque» pour la majorité, «attentat» pour quelques autres. Les médias n’emploient pas tous les mêmes critères pour qualifier un acte criminel.
Le directeur de la publication de Charlie Hebdo estime que les propos du directeur de Mediapart, «condamne[nt] à mort une deuxième fois Charlie Hebdo». Lire aussi
Agnès Bonfillon (75e promo ESJ Lille) est journaliste sur RTL. Le 11 septembre 2001, elle était sur place, à New-York, aux Etats-Unis. Elle nous confie ses ressentis, nous avoue qu’elle «se rappelle tout, même l’odeur» et pose un regard parfois critique sur ses collègues journalistes. Rencontre.
Les images de l'intérieur du Bataclan ont été vues aux Pays-Bas mais pas en France. Celle du corps d'Amedy Coulibaly a fait le tour du monde mais aucun journal français ne l'a publiée. Peut-on tout montrer? Des photographes, Chris Huby, Kenzo Tribouillard, Maya Vidon-White, Geoffroy Van der Hasselt et Steven Wassenaar, témoignent.
Indignations, rumeurs, complots… Le jeune belge Nicolas Vanderbiest, qui anime le blog Reputatio Lab, analyse sur Twitter et Facebook les mécanismes de crise dans des situations comme celles de l'attentat de Nice. Selon lui, ce sont les médias qui permettent la propagation des excès des réseaux sociaux. Lire aussi "Attentat de Nice: le CSA pourrait sanctionner France 2"
Entre 1892 et 1894, une vague d'attentats anarchistes ensanglante la France. Le gouvernement répond par une série de lois répressives.
Within hours of the attack in Nice last Thursday, Damien Allemand, a journalist from the local newspaper Nice Matin who happened to be at the scene shared his horrific experience on Medium and Tweeted the post. At the time of writing, at least 8,500 news organisations from all over the world had quoted his words. While social media has increasingly become a source of news for our audience, so it has for reporters - bringing new challenges. Lire aussi "Quand la mort vous rattrape" (Robert Holloway, Making-of AFP), ainsi que "What Does Facebook Live Mean for Journalism?" (StoryBench)
Au Monde, comme dans de nombreuses rédactions parisiennes, nous nous sommes retrouvés en première ligne, face à des scènes de guerre sur le trottoir d’en face. Beaucoup d’entre nous, du jeune journaliste au vétéran des colonnes du journal, n’avaient jamais eu à couvrir de tels événements. Nous avons voulu donner la parole à plusieurs d’entre nous, qui ont participé à la couverture des attentats du 22 mars: Charlotte Chabas (85e promo ESJ Lille), chef des informations au Monde.fr, Olivier Clairouin (86e promo ESJ Lille), responsable du service vidéo, Samuel Laurent, responsable des Décodeurs, Aline Leclerc (76e promo ESJ Lille), journaliste, Cécile Prieur, directrice adjointe des rédactions, et Luc Bronner (73e promo ESJ Lille), directeur des rédactions.
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"Aucun des professionnels qui participera à ce procès ne sait exactement à quoi s’attendre. Mais ce qui est sûr c’est que l’émotion sera là, c’est inévitable. Il faut simplement éviter qu’elle nous submerge."