Les deux premiers journaux norvégiens, «Verdens Gang», plus connu sous le nom de «VG» et «Aftenposten» (groupe Schibsted), se préparent à la mort de leur édition papier, espérant survivre avec leur seule offre numérique. En Suède, nombre de rédactions (dont le «Svenska Dagblabet»), sous-traitent la production du «print» à une agence extérieure, pour se concentrer pleinement sur le digital.
«Je ne remercierai jamais assez Spotify et Netflix! Grâce à eux, les gens ont compris qu'il n'était pas aberrant de payer pour des contenus digitaux»